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La blépharite : on en guérit facilement ! Centre médical de l'alliance

La blépharite : on en guérit facilement !

La blépharite.

Vos paupières sont irritées depuis quelques temps ?  Votre vision est trouble et vos yeux chatouillent bien que vous n’ayez pas d’allergie connue ?  Il s’agit peut-être d’une blépharite et nous pouvons vous aider !

Qu’est-ce que la blépharite ?

La blépharite se traduit par une inflammation du bord des paupières et de la racine des cils. Le plus souvent causée par une bactérie, elle peut devenir chronique.

Quels sont les symptômes ?

Les symptômes sont assez typiques et facilement interprétables…

  • Paupières collées, surtout au réveil
  • Sécrétion, croutes sur les cils
  • Rougeur de l’œil
  • Sensation d’œil sec
  • Irritation
  • Démangeaison
  • Gonflement des paupières

Quelle est la cause ?

Il existe deux types de blépharite : la blépharite antérieure et la blépharite postérieure.
La blépharite antérieure peut être d’origine staphylococcique (bactérienne) ou séborrhéique (souvent liée à une dermatite).
La blépharite postérieure aurait pour origine un dysfonctionnement des glandes de Meibomius qui ont un rôle dans la production de lipide des glandes lacrymales.
Dans les deux cas, les symptômes sont presque identiques.
Une déficience d’hygiène des paupières ainsi qu’un taux de pollution élevé sont des facteurs de développement de la blépharite.
Un trouble auto-immun peut également être responsable de cette infection.

Comment la soigner ?

Avant tout il est important de rappeler qu’un soin quotidien du visage et donc des yeux est recommandé pour éviter toute contamination bactéricide.
Evitez de vous frotter les paupières sous peine d’amplifier l’inflammation. Lavez-vous les mains régulièrement ou après avoir frotté un œil qui chatouille afin d’éviter de contaminer l’autre œil.
Dans le cas de symptômes légers et débutants, appliquer une compresse propre et chaude sur les paupières plusieurs fois par jour pourra vous soulager.
Ensuite, si les symptômes persistent et/ou empirent, il sera indispensable de consulter un ophtalmologue afin d’apposer un traitement efficace tel qu’un antibiotique, un corticoïde ou encore des stéroïdes.
Plus l’inflammation sera traitée rapidement et de manière appropriée, plus vite elle sera guérie et plus vous diminuerez le facteur de chronicité.

Conclusion.

Frotter un œil qui chatouille n’est pas toujours la bonne solution à adopter bien qu’elle apporte une sensation de soulagement instantané.
Les collyres et/ou pommades que l’on reçoit en pharmacie ne sont pas toujours appropriés au problème réel ou pas assez puissant face à une infection spécifique et n’apporteront  qu’un confort temporaire.
Afin de limiter les « dégâts » ou de ne pas vous retrouver avec un œil en feu, la meilleure attitude à adopter est de prendre rendez-vous auprès d’un ophtalmologue qui saura rapidement vous soulager.
Contactez dès lors le Centre Médical de l’Alliance au 02/387.30.68 ou prenez rendez-vous en ligne via notre website (http://www.cm-alliance.be/rendez-vous/ )!

Cancer de la prostate. Mot clé : prévention ! Centre médical de l'alliance

Cancer de la prostate. Mot clé : prévention !

Un cancer fréquent chez l’homme.

En Belgique, selon le Registre du Cancer, environ 8000 nouveaux cas de cancer de la prostate sont répertoriés chaque année. Environ trois quarts des patients ont plus de 65 ans. Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme, mais il n’est responsable que de 3% des décès. La plupart des cancers de la prostate évoluent très lentement. D’ailleurs, la grande majorité des hommes chez qui l’on détecte ce cancer mourront d’une autre cause. Bien souvent, la tumeur demeure localisée dans la prostate et a des effets limités sur la santé.

Dépistage.

Détectées à un stade précoce, 95 % des tumeurs de la prostate pourraient être guéries. C’est dire l’importance du dépistage.
Le dépistage repose essentiellement sur un simple dosage des PSA. Un examen annuel est recommandé pour les hommes de plus de 50 ans, voire vers 45 ans en cas de facteurs de risque (antécédent familial notamment).
La plupart des hommes atteints d’un cancer de la prostate ne présentent aucun symptôme au stade initial. Dix ans peuvent s’écouler avant l’apparition des premiers symptômes.
Dans tous les cas, certains symptômes doivent amener à consulter rapidement un médecin afin d’en déterminer précisément l’origine. Ces signes peuvent être causés par un cancer, une affection prostatique bénigne ou d’autres maladies : besoin fréquent d’uriner, surtout pendant la nuit, difficulté à retenir l’urine ou, au contraire, à commencer d’uriner, impossibilité d’uriner, débit urinaire faible ou discontinu, douleur ou sensation de brûlure à la miction, présence de sang dans les urines, éjaculation douloureuse, douleur sourde au bas du dos, dans les hanches ou en haut des cuisses…

Les méthodes de dépistage.

Les deux principales méthodes pour déceler un cancer de la prostate sont les suivantes: la mesure du PSA (Prostate Specific Antigen) dans le sang et l’examen de la prostate par toucher rectal.
L’Echographie réalisée par voie intra-rectale et l’IRM (imagerie par résonance magnétique) permettent d’affiner la suspicion de cancer de la prostate.
Finalement des biopsies prostatiques écho-guidées devront être réalisées pour affirmer la présence ou non de cellules cancéreuses dans la prostate.
Le CT Scan et la scintigraphie osseuse permettent quant à eux de savoir s’il y a propagation de la tumeur dans d’autres organes (métastases).
Une fois le cancer diagnostiqué, le traitement va dépendre de son stade, de sa rapidité d’évolution et bien entendu de l’âge et de l’état de santé de l’homme. Plus un cancer de la prostate est identifié tôt, plus les chances de guérison sont grandes. Lorsque le cancer se limite à la prostate, il y a de fortes chances de guérison. Une fois qu’il s’est propagé, il devient souvent inguérissable.

Le traitement du cancer de la prostate.

Une fois détecté le choix d’un traitement peut être difficile à faire. Il est très utile pour un homme atteint d’un cancer de la prostate d’être bien informé des détails sur le diagnostic et les options de traitement.
Options de traitement du cancer de la prostate
surveillance active par examens de la prostate et suivi de la tumeur à intervalles réguliers.
chirurgie par prostatectomie radicale – Intervention chirurgicale la plus courante pour retirer un cancer de la prostate localisé actuellement réalisée par chirurgie laparoscopique robotique assistée. L’intervention a pour but d’enlever complètement le cancer de la prostate associée ou non à un curage ganglionnaire pelvien.
radiothérapie et brachy-thérapie (curiethérapie)
hormonothérapie
chimiothérapie
Ces différents traitements peuvent être utilisés seuls ou en association.

Conclusion.

Le Cancer de la Prostate est une maladie fréquente d’évolution lente, parfois mortelle mais curable si elle est diagnostiquée à des stades localisés.
Les patients peuvent bénéficier d’un diagnostic précoce du cancer de la prostate mais beaucoup d’hommes seront porteurs de cancers de prostate appelés indolents parce qu’ils ne donneront jamais de symptômes ou de métastases, et n’entraineront jamais le décès du patient.
Les techniques de diagnostic actuelles (toucher rectal, PSA et diagnostic) risquent de mettre en évidence des cancers indolents et de « rater » une faible proportion de cancers agressifs. De même il ne faut pas oublier que les mises au point et traitements ne sont pas sans risque.
Même si pour l’instant le dépistage organisé et systématique du cancer de la prostate n’est pas recommandé par les autorités de santé, il est vivement conseillé sur un mode individuel.
Une consultation s’impose en cas de symptômes urinaires car un cancer de la prostate peut se révéler par les mêmes troubles que l’adénome de la prostate
Comme tout cancer, plus il est décelé et pris en charge tôt, plus son pronostic est bon.
Une question, une hésitation ? Un service urologie vient de s’ouvrir au Centre médical de l’Alliance. Contacter notre secrétariat ou prenez rendez-vous avec un urologue qui pourra répondre à vos questions et vous orienter au mieux vers la solution optimale à votre problème !

Fondation JED au Palais des Académies Centre médical de l'alliance

Fondation JED au Palais des Académies

Fondation JED, Palais des Académies ce samedi 10 juin 2017 au soir pour la remise de 3 bourses de recherche en neurologie et ophtalmologie pédiatrique (9ème année).

Bravo au mécénat de Jacques et Danielle Espinasse

L'épilation laser : sans douleur et efficace ! Centre médical de l'alliance

L'épilation laser : sans douleur et efficace !

Avec l’arrivée d’une infirmière diplômée au Centre médical de l’Alliance, l’épilation définitive se pratique aussi chez nous.
L’épilation au moyen du laser à diode LIGHTSHEER permet d’obtenir la réduction et/ou disparition des poils, avec des effets stables, à long terme ou permanents, en prenant sélectivement pour cible la mélanine des follicules pileux.

Mécanisme d’action de l’épilation laser.

La cible primaire est la mélanine contenue dans la tige pilaire. Il n’est donc pas possible de traiter les poils blancs.
Le but est d’obtenir la destruction des zones germinatives du follicule pileux ,le bulbe et le bulge. Ce sont les cibles secondaires.
Le laser provoque 3 actions sur la pilosité : destruction, miniaturisation (poils fins et clairs) et retard à la repousse.
Pour plus d’infos, cliquez ici ou n’hésitez pas à nous appeler.

Les implants oculaires Centre médical de l'alliance

Les implants oculaires

Nous savons qu’il existe plusieurs types d’implant intraoculaire qui peuvent remplacer le cristallin atteint de cataracte et/ou compenser un défaut visuel,  mais quels sont-ils ?
Vous avez entendu parler des implants monofocaux, multifocaux et vous aimeriez comprendre la signification de ces termes ?
Vous n’êtes pas un candidat idéal pour la chirurgie laser mais il y a peut-être une autre alternative que vous ignorez …
Après l’article sur la cataracte, dans le même thème, nous allons aborder cette fois le sujet des implants intraoculaires.

Qu’est-ce qu’un implant intraoculaire ?

Rappelons que lors de l’intervention de la cataracte, on remplace le cristallin opacifié par un implant intraoculaire. Cet implant est une lentille transparente en matériau acrylique ou silicone qui a un pouvoir de réfraction, elle peut donc compenser un défaut visuel. Sa puissance est déterminée en fonction de celle de votre cristallin avant extraction. Il existe une large gamme de puissance d’implant permettant de corriger presque tous les défauts optiques. Il existe également plusieurs modèles de lentille disponibles afin d’optimiser au mieux la vision après l’intervention.
L’implant monofocal est aujourd’hui le plus utilisé. Il y a également des implants bifocaux, multifocaux et toriques.

Quelle est la différence entre un implant monofocal, bifocal et multifocal ?

Ce sont tous trois des implants intraoculaires que l’on insère à la place du cristallin et qui ont un pouvoir de réfraction permettant de compenser un ou plusieurs défauts visuels.
L’implant monofocal corrige une seule vision, la vision de loin ou la vision de près. Selon votre vision initiale, porter une paire de lunettes après l’intervention pourra s’avérer nécessaire. La vision que vous souhaitez privilégier sera à convenir avant l’opération avec votre ophtalmologue. L’implant monofocal reste le plus utilisé car il est comparable au cristallin et ne nécessite pas d’adaptation particulière.
L’implant bifocal corrige la vision de loin et de près. La vision intermédiaire n’est quant à elle pas corrigée.
L’implant multifocal corrige toutes les distances c’est à dire la vision de loin, intermédiaire (ordinateur) et de près. Il ne sera donc plus nécessaire de porter des lunettes après l’intervention. Cependant, ce type d’implant requiert une capacité d’adaptation plus importante et ne sera conseillé que sur l’avis de votre ophtalmologue. Ce type d’implant peut être utilisé en cas de cataracte ou non. Il sera reconnu comme une chirurgie réfractive (donc sans remboursement Inami) dans le cas où la cataracte n’est pas diagnostiquée.

Qu’est-ce qu’un implant torique ?

L’implant torique corrige l’astigmatisme. En plus de corriger la myopie ou l’hypermétropie, de par sa conception particulière (en forme de tore, semblable à un anneau) il compense également l’astigmatisme.

J’ai la cataracte, puis-je bénéficier d’un implant multifocal ?

Oui ! L’implant multifocal est destiné aussi bien aux patients atteint de cataracte qu’à ceux qui ont un cristallin sain.

Je ne suis pas atteint de cataracte, puis-je quand même disposer d’un implant multifocal?

Oui ! Il s’agirait dans ce cas ci d’une alternative aux lunettes, lentilles de contact et/ou à la chirurgie réfractive (laser). L’intervention est semblable à celle de la cataracte. La différence est que l’on remplace un cristallin initial clair vu qu’il n’y a pas (encore) de cataracte.

Quel prix pour quel implant ?

Le prix varie selon le type d’implant choisi. Il va de paire avec la spécificité de la lentille. Plus l’implant comportera de caractéristiques, plus son prix augmentera.
L’INAMI intervient en cas de cataracte. Dans tout autre cas, il faut vous renseigner auprès de votre mutuelle/assurance pour une éventuelle participation de leur part.

En conclusion.

Il n’est pas évident de pouvoir s’identifier et trouver une solution à une situation plutôt qu’à une autre sans réellement connaître la raison d’un problème. C’est pourquoi en cas de trouble de la vision, il est préférable de se rendre chez son ophtalmologue afin d’avoir un avis médical. Il pourra diagnostiquer une éventuelle cataracté liée à votre problème visuel ou vous proposer un traitement chirurgical pour remédier au port des lunettes/lentilles pour vous rendre la vie plus confortable.
Une question, une hésitation ? Contacter notre secrétariat ou prenez rendez-vous avec un de nos ophtalmologues qui pourra répondre à vos questions et vous orienter au mieux vers la solution optimale à votre problème !  Depuis peu vous pouvez aussi prendre rendez-vous en ligne !!

Félicitations au Docteur Oscar KALLAY ! Centre médical de l'alliance

Félicitations au Docteur Oscar KALLAY !

Ce 16 mai 2017, le Docteur Oscar KALLAY est devenu vice-président du Syndicat ophtalmologique de Belgique (SOOS).   Ce syndicat est très important dans le monde des ophtalmologues. Si le but d’un syndicat est de défendre la profession ; le SOOS est aussi très actif dans l’intérêt des patients ; par exemple dans les négociations pour les remboursements INAMI pour certaines pathologies ou défauts de vision.

Nouveaux spécialistes au Centre médical de l'Alliance Centre médical de l'alliance

Nouveaux spécialistes au Centre médical de l'Alliance

A partir de juin, ouverture des consultations en :

Psychiatrie : Docteur Vincent Ryckmans, psychiatre
Urologie : Docteur Alexandre de Groote, Urologue
Ergothérapie : Mme Estelle Parein, Ergothérapeute
à côté de nos autres spécialistes (gynécologue, O.R.L., dermatologue, … voir la liste en bas de page)
Bref, dorénavant le Centre médical de l’Alliance compte 43 praticiens dont 23 médecins spécialistes à votre service.
Vous pouvez téléphoner (02 387 30 68) pour avoir plus de renseignements ou pour déjà prendre un RV.

La cataracte, c'est quoi au juste ? Centre médical de l'alliance

La cataracte, c'est quoi au juste ?

Vous connaissez des personnes de votre entourage qui ont été opérées de la cataracte et vous ne savez pas vraiment de quoi il s’agit ?
Vous venez de remplacer vos lunettes et malgré cela votre vision ne s’est pas améliorée ?
Gros plan sur la cataracte liée à l’âge !

La cataracte, qu’est-ce que c’est ?

A l’intérieur de l’œil se trouve une lentille appelée le cristallin. La lumière qui entre dans l’œil passe par cette lentille qui fait converger les rayons lumineux à l’intérieur de l’œil grâce à sa forte puissance réfractive.
Avec l’âge, cette lentille normalement transparente s’opacifie et jaunit progressivement. La vision devient alors trouble et les couleurs moins vives.
A partir d’un certain stade d’opacification, on parle de cataracte. Cette maladie est due au vieillissement naturel du cristallin et n’apparaît pas forcément de manière simultanée aux deux yeux. Selon la maturité de la cataracte ou son évolution, il faudra réaliser une chirurgie oculaire.

A quel âge peut-on être atteint de cataracte ?

Cette maladie est propre à l’évolution de l’œil et donc à chacun, c’est pourquoi il n’y a pas d’âge précis d’apparition. Étant relative au vieillissement, elle survient dès l’âge de 65 ans mais peut parfois se manifester plus tôt.
Dans certains cas elle apparaît à la naissance, on parle alors de cataracte congénitale.

Quels sont les symptômes de la cataracte ?

La cataracte est une maladie progressive et indolore. Elle évolue sur plusieurs mois voire années.
Les couleurs se ternissent mais l’on ne s’en rend compte réellement qu’après l’opération et/ou en comparant l’œil atteint avec l’œil sain.
La vision de loin devient petit à petit floue malgré les lunettes et n’est pas améliorée en remplaçant les verres.
La vision de près devient floue également mais en général plus tardivement. Un effort de près devient difficile malgré le port des lunettes.
Elle s’accompagne parfois d’une vision double à l’œil malade et d’un éblouissement à la lumière.

Quels sont les causes de la cataracte ?

Comme cité précédemment, cette maladie est relative au vieillissement de l’œil et n’a pas vraiment de cause définie. Il y a cependant des facteurs qui peuvent la favoriser :
–       Hérédité
–       Une pathologie oculaire telle que le glaucome, la myopie, l’uvéite
–       Une pathologie générale comme l’hypertension artérielle ou le diabète
–       Certains médicaments et/ou traitements pris pendant une longue période comme un corticoïde ou un antidépresseur
–       Un traumatisme oculaire antérieur comme une blessure ou un corps étranger perforant
–       Une chirurgie oculaire antérieure
–       Une exposition intense aux rayons UV sans protection solaire
–       Le tabac, l’alcool et/ou un apport faible en vitamines

Quel traitement pour la cataracte ?

Le seul traitement possible pour la cataracte est la chirurgie. L’intervention dure entre 15 et 30 minutes, elle est indolore et est réalisée en ambulatoire. Elle consiste à extraire le cristallin de l’œil en laissant sa membrane extérieure dans laquelle on insère une lentille intraoculaire appelée implant intraoculaire. Comme le cristallin remplacé, cet implant fait converger les rayons lumineux à l’intérieur de l’œil et permet un résultat immédiat. La vision étant améliorée dès les jours suivants l’opération.

Quels tests réalise-t-on avant l’opération ?

De nombreuses mesures doivent être réalisées au préalable.
D’abord on mesure l’acuité visuelle (capacité de l’œil à voir un point disposé à une certaine distance) et la réfraction (défaut visuel) du patient.
On réalise ensuite une échographie de l’œil afin de connaître sa longueur et sa puissance. On mesure également les différents paramètres de la cornée, structure située à l’avant de l’œil. C’est différents examens permettent de déterminer la puissance de la lentille qui correspondra le mieux à votre œil.
L’ophtalmologue réalise également un examen du fond de l’œil dilaté et un scanner de la rétine afin de s’assurer qu’il n’y a pas de maladie sous-jacente.

Comment est la vision après la chirurgie ?

De manière générale, on place un implant monofocal qui va corriger un éventuel défaut en vision de loin. Après l’opération, des lunettes ne seront plus forcément nécessaires pour la vision à distance. Cependant, une lunette de lecture sera toujours nécessaire.
La récupération est normalement très rapide et excellente. Vous retrouverez une vision éclatante en couleurs et en lumières.
Une baisse de vision peut survenir 2 à 3 ans après l’opération, il s’agira alors d’une cataracte secondaire qui correspond à une opacification de la membrane restante entourant le cristallin initial. A noter que celle-ci se traite par un laser à la consultation et ne nécessite pas de seconde intervention.
Il existe un autre type d’implant intraoculaire appelé implant multifocal qui compense la vision de loin, la vision intermédiaire et la vision de près et permet de ne plus porter de lunettes. Celui-ci étant particulier, seul votre ophtalmologue sera à même de vous le conseiller.
Les implants multifocaux feront l’objet d’un article sur les implants intraoculaires qui sera publié très bientôt sur notre site internet.

En conclusion.

Avec un taux de réussite de 99.9%, l’opération de la cataracte est l’une des plus pratiquées aujourd’hui.
A partir de 45 ans, une visite annuelle chez un ophtalmologue est recommandée. Lui seul peut diagnostiquer une cataracte, l’évaluer et vous informer de son évolution. Toute baisse de vision inhabituelle nécessite également un rendez-vous.
Une hésitation, une question, prenez tout de suite rendez-vous avec un de nos ophtalmologues spécialisés au Centre Médical de l’Alliance

Burnout, une maladie de société ? Centre médical de l'alliance

Burnout, une maladie de société ?

Un phénomène récent

Les professionnels de la santé mentale sont de plus en plus nombreux à produire ce constat : les souffrances psychologiques rapportées en consultation touchent de façon grandissante au domaine du travail.
Certaines estimations récentes sont alarmantes.   Les sommes nécessaires aux indemnisations pour incapacité de travail sont en passe de supplanter celles investies pour l’indemnisation du chômage. Dans un contexte où les personnes bénéficiant d’une incapacité de travail pour burnout ont vu leur nombre doubler en l’espace de 7 ans, il y a matière à s’interroger sur ce que nous réserve le futur.

Un maladie reconnue

La ministre De Block ne manque pas de relever ce constat.  Elle a ainsi récemment annoncé l’arrivée d’une reconnaissance du burnout comme maladie liée au travail. Ne nous y trompons pas, il ne s’agit pas de considérer ce syndrome d’épuisement professionnel comme une maladie ou un accident du travail, ce qui mettrait en cause la responsabilité des employeurs et ne serait pas du tout du gout de ces derniers. Il s’agit, au contraire, de ménager la chèvre et le chou. Cette reconnaissance, souligne la ministre, permettrait de renforcer la prévention dans le monde professionnel et d’ainsi concourir à juguler cette préoccupante épidémie.
Bien que saluée, pour autant, cette initiative sera-t-elle suffisante ? D’ores et déjà, les professionnels de la santé émettent leurs doutes tandis que les appellations d’atteintes liées au travail et aux différentes formes de mal-être qui s’y développent se multiplient : burnout « classique », de l’étudiant, de l’aidant proche ou encore burnout parental, bore-out et brown-out, la liste n’en finit pas de se dérouler.

Un phénomène de société

C’est qu’un fonctionnement basal de notre société s’y rattache. Aujourd’hui, sociologues et philosophes le mettent en évidence, les formes de réalisations de soi valorisées socialement passent par le travail et le pouvoir (d’achat) qu’il procure.  Ainsi faire carrière, être capable de se payer ce que l’on désire et sans (trop) regarder à la dépense devient un défi. Cet enjeu de réussite par le travail se déroule paradoxalement dans un contexte où trouver du travail valorisant, pérenne et bien rémunéré, devient de plus en plus une gageure. Face à ce tableau, est-il étonnant que certaines des formes de souffrances majeures qu’exprime notre société se cristallisent autour de la sphère professionnelle ? Comment, à l’heure actuelle, réussir – dans ou en dehors du travail – et faire sens ? Les professionnels de la santé mentale soulignent : il s’agit bien d’une crise de sens, qui se développe au-delà du « simple » champ du travail.

Que faire si on suspecte un burn out ?

En cas de souffrances au travail, nos spécialistes en psychologie clinique peuvent vous accueillir pour en parler et trouver une solution.  N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements ou pour une consultation.
Dessin de Kaamran Hafeez

La médecine du sport au Centre médical de l'Alliance Centre médical de l'alliance

La médecine du sport au Centre médical de l'Alliance

A partir du 20 avril, le Docteur Kadou, spécialiste en médecine sportive et en mésothérapie consultera tous les jeudis au Centre médical de l’Alliance.

Si la grosse traumatologie (polytraumatisme, grosse fracture..) relève des services d’urgences, la « petite traumatologie » survenant ou non sur les terrains de sport relève le plus souvent de la médecine ambulatoire. Cette « petite traumatologie » est souvent négligée par le patient.   Dans l’autre extrême elle est traitée par des moyens démesurés (plâtre). Pourtant notamment chez le sportif, cette pathologie nécessite un diagnostic précis et un traitement fonctionnel adapté.  Ce traitement sera gage de la reprise rapide des activités ou de la fonctionnalité quotidienne en toute sécurité. 
Plus de détail sur : http://www.cm-alliance.be/s…/medecine-du-sport-mesotherapie/

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