Oriane_L

Le système de dispensaire de soins.

Beaucoup de patients nécessitants des petits soins infirmiers ne savent pas où s’adresser ou voudraient être pris en charge pas trop loin de chez eux et dans un endroit spécialisé facilement accessible.  C’est désormais possible au Centre médical de l’Alliance depuis l’ouverture du cabinet « soins infirmiers ».  Les petits soins spécialisé tels que réfection de pansement pour plaie simple ou chronique, post opérations, retraits de fils, retraits d’agrafes, injections d’intramusculaire, injections sous cutanée y sont désormais donnés.   Tous ces soins sont remboursés entièrement via la mutuelle et ne nécessitent pas de paiement directement au Centre Médical.

Que faut-il faire ?

Vous pouvez contacter directement Mme Caroline Droyers, infirmière au Centre médical de l’Alliance.  Elle est disponible tous les jours, week-end compris si nécessaire pour le suivi des soins. Vous pouvez prendre contact ou rendez-vous via son adresse email sur caroline.droyers@cm-alliance.be et elle vous répondra dans les plus brefs délais.
L’horaire peut être convenu selon la disponibilité du patient entre 7h et 19h.

Attention au point suivant :

Lors de votre première visite, vous devez absolument vous munir de :

• la demande de soins du médecin prescripteur,
• du matériel et médicaments (injection, désinfectant, pommades,…) nécessaire pour effectuer les soins également prescrit par le médecin,
• d’une vignette mutuelle,
• de votre carte d’identité afin de compléter la demande de remboursement pour la mutuelle.

Vous êtes myope, astigmate, hypermétrope ou vous souffrez d’une lourde myopie et vous voulez vraiment changer votre vie quotidienne, alors n’hésitez pas à venir demander conseil à un ophtalmologue.  Une consultation consiste bien plus qu’en un diagnostic sur l’état de votre vue. Votre ophtalmologue est à votre écoute, est là pour vous guider et vous conseiller au mieux sur la démarche à suivre pour améliorer votre confort visuel et surtout pour vous aider psychologiquement à franchir le pas….
http://www.cm-alliance.be/se-lever-signifie-trouver-lunettes/

Si vous êtes myope, astigmate ou hypermétrope, savez-vous que vous pouvez vous passer de vos lunettes ou de vos lentilles ?
Savez-vous que si vous comptez combien vous coûtent vos lunettes sur 20 ans, une opération en vaut vraiment la peine ?
Nous vous proposons une série d’articles sur le sujet et nous commencerons aujourd’hui par la chirurgie réfractive.

Qu’est ce que la chirurgie réfractive ?

La chirurgie réfractive consiste en une opération des yeux par traitement laser qui a pour but de corriger les défauts visuels. Le port d’une correction optique en lunettes et/ou lentilles ne sera dès lors plus nécessaire.

Pour qui ?

Les différentes techniques de laser permettent aujourd’hui de traiter
–       La myopie (œil trop long)
–       L’hypermétropie (œil trop court)
–       L’astigmatisme (déformation de la cornée)
La performance et la précision des lasers actuels corrigent presque tous les défauts visuels dès la maturité de l’œil atteinte. Ils assurent également la sécurité d’un traitement reconnu et fiable par les centres agréés.  De plus, les dernières technologies permettent un acte chirurgical indolore.

Pourquoi ?

D’abord pour améliorer vos qualité et confort de vie en ne devant plus vous occuper de la corvée de chercher vos lunettes, de les remplacer quand vous les cassez, etc..  Il en va de même pour vos lentilles de contact qui peuvent parfois provoquer des allergies, des irritations et qui vous empêchent parfois de ne pas rentrer chez vous quand des amis vous proposent de dormir chez eux après une longue et amusante soirée…
Vous pourrez aussi pratiquer tous les types de sports et d’activités qui vous étaient interdites avec des lunettes ou des lentilles…. Avez-vous jamais imaginer faire un plongeon et voir sous l’eau ?
Pour certaines et certaines d’entre vous, le choix d’une paire de lunettes est parfois un casse-tête en se demandant toujours si elles s’assortiront à votre personnalité…
Et l’été, vous devrez toujours soit avoir une paire de lunettes de soleil correctrices, soit adapter sur votre paire de lunettes ces fameuses « lunettes clapet » ou alors accepter de ne rien y voir avec des lunettes de soleil classiques…
Enfin, faites juste le calcul du prix que vous payerez pour vos lunettes ou vos lentilles durant toute une vie, même si une partie est remboursée par la sécurité sociale.  Vous vous apercevrez que vous pourriez consacrez un partie de cette somme pour une opération de 30 minutes…

Quels sont les différents types de lasers ?

Il existe différents types de traitement laser dont les 2 principaux sont
–       LASIK : on découpe un « capot » d’épithélium (tissu de protection extérieur et très dense) avec un femtolaser dans la cornée puis on traite les couches plus internes à l’aide d’un laser excimer.  Le capot est ensuite réappliqué sur la cornée.
–       PKR : on retire l’épithélium cornéen puis on traite au laser excimer les couches cornéennes plus profondes.

A quel prix ?

Le prix varie d’un traitement à l’autre et il est justifié par la technique utilisée.  Ce type d’intervention n’est malheureusement pas remboursé par la mutuelle; mais comme mentionné plus haut, un amortissement à court ou moyen terme est possible si l’on compare avec le coût des lunettes et/ou lentilles que vous devriez payer.

Conclusion

Vous avez envie de vous sentir libre, de ne plus vous endormir avec la crainte de ne pas trouver vos lunettes le matin, vous avez essayé les lentilles de contact et vous ne les supportez plus,  vous avez calculé ce que vous coûtent vos lunettes ou vos lentilles et vous voulez économiser sur le long terme ?  Alors une consultation chez votre ophtalmologue pourrait vous conduire à une solution propre à votre cas et vous permettre ainsi de retrouver une certaine liberté d’action.
A partir d’un certain âge, une alternative peut être la mise en place d’un implant multifocal (vision de loin,intermédiaire et rapprochée) mais cela fera partie d’un prochain article sur ce sujet.
Votre ophtalmologue pourra vous conseiller quant au choix du type de traitement le mieux adapté à votre cas.
Au Centre Médical de l’Alliance, nous disposons d’un Femtolaser à la pointe de la technologie vous permettant de bénéficier d’un traitement ambulatoire de jour, indolore et avec effet immédiat sur la vision.
Vous trouverez plus d’informations sur les différents traitements en consultant notre site :http://www.cm-alliance.be/chirurgies-de-l-oeil/
 

Qu’est ce que le glaucome ?

Le glaucome regroupe un ensemble de pathologies qui ont toutes en commun une atteinte du nerf optique associée à une perte de fibres optiques. Il touche principalement les personnes de plus de 45 ans et peut malheureusement conduire à la cécité. La tension intraoculaire joue un rôle clé dans cette pathologie particulière de l’oeil.  L’atteinte visuelle n’est pas réversible mais peut-être traitée efficacement si l’on s’y prend à temps ! Le facteur héréditaire joue un rôle important dans la maladie.

Les deux types principaux :

On trouve d’abord le glaucome à angle ouvert (aussi appelé glaucome chronique) où l’angle entre la cornée et l’iris de l’œil est dit ouvert. Le filtre d’évacuation du liquide intraoculaire devient moins perméable, le liquide s’évacue de manière plus lente et s’accumule dans l’œil ce qui entraîne une augmentation de la pression interne de l’œil. Au départ, cette forme de glaucome est asymptomatique et évolue lentement au début. Un traitement et un suivi régulier est indispensable afin de l’arrêter.
Ensuite le glaucome à angle fermé (aussi appelé glaucome aigu) qui survient de manière plus brutale. L’angle entre la cornée et l’iris est très petit voire fermé, ce qui rend l’évacuation du fluide intraoculaire quasi impossible et provoque une rapide augmentation de la tension intraoculaire.
Ce phénomène entraîne une douleur sévère dans l’œil, une rougeur de l’œil, des nausées et une vision trouble. Si vous ressentez ce genre de symptômes, il faut consulter rapidement votre ophtalmologue car il s’agit d’une situation d’urgence qui nécessite un traitement rapide. En l’absence d’une prise en charge immédiate, la perte de vision peut être importante et sera irréversible.
Juste pour information, il existe toute une série d’autres glaucomes tels que les glaucomes secondaires à une pathologie oculaire ou le glaucome congénital; mais nous n’abordons pas ces types dans cet article.

Comment est-il détecté ?

On le détecte en réalisant les tests suivants :
–       Tension intraoculaire (tonométrie)
–       Epaisseur cornéenne (pachymétrie)
–       Evaluation de l’angle (gonioscopie)
–       Fond d’œil pour examiner le nerf optique
–       Scan du nerf optique (OCT)
–       Champ visuel pour évaluer la vision périphérique et centrale

Quels sont les différents traitements ?

Vous trouverez les trois différents traitements sur la page dédiée de notre site : http://www.cm-alliance.be/chirurgies-de-l-oeil/glaucome-cest-quoi/

Que faire en cas de doute ?

Le glaucome est une maladie dégénérative du nerf optique. On ne peut que ralentir son évolution en réduisant au maximum la tension intraoculaire. Malheureusement, ses dommages sont irréversibles.  C’est pourquoi il est important de consulter régulièrement son ophtalmologue pour le dépister le plus tôt possible.
Si vous effectuez une visite bi-annuelle chez l’ophtalmologue dès 45 ans, le dépistage sera automatique, le cas échéant.  Si vous soupçonnez un début de glaucome, prenez un rendez-vous sans tarder avec un ophtalmologue.  Il en va de la pérennité de votre vision….
 

A partir de février 2017, un optométriste consultera au Centre médical de l’Alliance tous les jeudis après-midi.

Mais qu’est-ce qu’un optométriste ?

L’optométriste fonctionnel s’occupe de structures oculaires saines.  La plupart du temps, il peut donc remplacer un ophtalmologue dans les cas de difficultés visuelles non liées à une maladie.
L’optométriste mesure la performance et le rendement visuel. Il fait aussi l’analyse physiologique des fonctions de la vision binoculaire et leur mise en relation.
L’optométrie fonctionnelle se rattache donc à la performance, au rendement,  au développement des capacités visuo-perceptivo-motrices, à leur entraînement.  Elle vise donc à l’amélioration de la vision.

Bénéficier d’une acuité visuelle de 10 /10 n’est pas nécessairement bien voir !

Un souci visuel n’est pas seulement un problème de structures oculaires, d’acuité visuelle ou d’alignement binoculaire…
Il s’agit aussi d’adaptation aux exigences perceptuelles, psychomotrices donc de la réponse visuelle liée à une tâche proposée ou imposée par l’environnement.
Lorsque l’organisme n’a pas les capacités à soutenir la performance qu’exigent les symboles du langage, cela peut induire un problème d’apprentissage chez l’enfant comme chez l’adulte (dysgraphie, dyscalculie, dyslexie…).
Un équipement optique, qu’il consiste en lunettes ou en lentilles de contact, devra être adapté pour un fonctionnement optimal.

En conclusion.

L’optométriste n’est pas médecin ; mais sa formation répond, en Europe, à un cursus d’études supérieures voire universitaires.
Il vérifie l’acuité visuelle et met ses connaissances à profit en termes d’anatomie, physiologie, biologie, physique, mathématiques pour offrir à son patient une solution globale pour sa vue.   Suivant le cas, cela consistera en verres de lunettes, en lentilles de contact, en systèmes grossissants ou en l’utilisation de filtres colorés pour les personnes souffrant de basse vision.
L’approche globale par rapport aux besoins et attentes d’une personne en fait un interlocuteur de choix pour garantir une vision claire et confortable.
Si besoin en est, il redirigera le patient vers un ophtalmologue pour un examen médical approfondi.

Vous pouvez déjà prendre un RV rapide dès à présent !

En 2017, une section « Clinique de la douleur » sera intégrée au Centre médical de l’Alliance

Les mots des maux, la façon d’exprimer, de définir la douleur, de l’évaluer représentent une véritable gageure.   Certains consensus internationaux doivent cependant être trouvés afin de pouvoir parler le même langage en matière de prise en charge du patient souffrant de douleurs chroniques.
Depuis 1994, la définition de la douleur proposée par l’I.A.S.P. (http://www.iasp-pain.org) n’a pas fondamentalement changé : « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans des termes évoquant une telle lésion ».
Si elle persiste au-delà de 3 mois, la douleur devient chronique et peut être considérée comme une maladie à part entière. Plus ou moins 25 % de la population générale présente un phénomène douloureux chronique qui entraîne des conséquences, d’abord pour l’individu dont la vie quotidienne et les convictions se trouveront modifiées, ensuite pour son entourage avec lequel les relations seront parfois ébranlées. La douleur chronique nous transforme parfois si profondément que nous finissons par nous y identifier. Il y a un temps avant la douleur puis un temps avec la douleur.

Une prise en charge pluridisciplinaire

Prendre en charge les patients plongés dans cet univers reste difficile et nécessite actuellement une approche large basée sur le modèle bio-psycho-social.   C’est dans ce contexte que des centres multidisciplinaires ont été mis en place.  Il s’agit de réunir des professionnels de la santé usant chacun de leurs compétences pour affronter ensemble le même adversaire : l’univers morbide dans lequel se trouve le patient. Dans ces centres, le phénomène douloureux est d’abord observé, évalué sous ses différentes facettes; puis mis à mal par un processus thérapeutique composé généralement d’une partie médicamenteuse associée à des éléments non médicamenteux.

Une approche personnalisée

Une prise en charge individualisée, quasi « à la carte » sera ainsi proposée au patient dans le Centre. Aidé par l’ensemble de l’équipe, le patient découvrira ou redécouvrira des ressources personnelles, formant une véritable boîte à outils.
Ainsi, l’équipe encouragera le patient à  pouvoir devenir acteur de sa propre prise en charge et dès lors, en quelque sorte, à faire partie de l’équipe multidisciplinaire en en partageant les doutes, les échecs et les joies.   Plus que l’abaissement de l’intensité de la douleur, l’objectif est ici une amélioration de la qualité de vie et une autonomisation du patient.

En résumé

Le but est d’offrir aux patients une structure multidisciplinaire extra-hospitalière intégrée et personnalisée de prise en charge de la douleur chronique, en éventuel relais d’une structure hospitalière.  Il s’agit donc d’encadrer le patient par une équipe médicale (algologue, neurologue, rhumatologue…) et paramédicale (psychologue, kinésithérapeute, ostéopathe, infirmière…).  En un mot : travailler sur un dossier unique, parce que chaque patient est unique….
Si vous vous sentez concerné, nous vous invitons déjà à prendre rendez-vous à la consultation du Docteur Philippe Voordecker, neurologue et algologue.  Selon l’ampleur et la nature des plaintes dont vous lui ferez part,  il pourra vous proposer une prise en charge globale dans la Clinique de la douleur du Centre médical de l’Alliance.

La prise en charge des troubles du langage est aussi une des tâches du Centre médical de l’Alliance.
A partir de janvier, une deuxième logopède, orientée vers la prise en charge des enfants, exercera tous les jeudis matin au Centre.  Elle travaillera aussi en étroite collaboration avec notre ORL.
Plus d’informations sur : http://www.cm-alliance.be/services/logopedie
Les prises de rendez-vous se font via notre secrétariat.
 

Au Centre médical de l’Alliance, le 16 décembre 2016, le Dr Wulleman, spécialiste des apnées du sommeil organisera un séminaire pour les médecins, dentistes, orthodontistes et autres spécialistes de la santé sur le sujet suivant : « Les troubles respiratoires du sommeil.  Nouvelle approche thérapeutique originale : TRP ».

Public cible :

tout professionnel de la santé spécialisé dans la prise en charge des affections orofaciales de l’adulte et l’enfant.

Programme :

1. Résumé de la physiopathologie des troubles respiratoires du sommeil (TRS).
2. Rôle de la langue dans la genèse des troubles respiratoires du sommeil.
3. Dysfonctions linguales et orofaciales.
4. Signes et symptômes pour diagnostic précoce des TRS.
5. Le TRP (Tongue Right Positioner) :
   • Description, mode d’action,
   • Résultats préliminaires,
   • Traitement : préparation, mise en œuvre par le dentiste,
   • Intervention du rééducateur.
6. Discussion.

Le séminaire sera tenu et animé par :

Jean-Michel MAUCLAIRE, CEO Tonguelab
Dr Paul WULLEMAN  Fondateur de SleepClinic.be

Renseignements :

Vendredi 16 décembre 2016 à 14 h
Lieu : centre médical de l’Alliance : 2, av. du Japon à 1420 BRAINE-L’ALLEUD
https://goo.gl/maps/CbJ3xAoA27F2

Contact/inscription :

info@sleepclinic.be